•        Article 11       

     

    Voix paranormale 11

     

    « Catherine, je m'instruis »

     

     

    Voix paranormale obtenue par Monique Simonet

     

    Catherine est une amie de Monique Simonet, elle fait appel à cette dernière en lui demandant de tenter d'entrer en contact avec son époux disparu, car elle aimerait savoir ce qu'il devient dans l'Au-delà. Dans l'enregistrement de TCI, son mari lui répond qu'il s'instruit Là-Haut. La voix paranormale est vraiment très claire à l'écoute, sans aucune ambiguïté quant au contenu des mots que l'on entend. Monique nous dit que c'était déjà un homme très évolué sur Terre, très cultivé. Bien que cette voix soit compréhensible à l'écoute, je l'ai quand même épurée à la fin de la vidéo pour la rendre encore plus nette. 

    Article 11

     

    « Les faits sont plus utiles quand ils contredisent
    que quand ils appuient les théories reçues
    . »

    Sir Humphry Davy

    ( 1778 - 1829 )

     


  •        Article 12      

     

    Voix paranormale 12

     

    « Georges »

     

     

     

    Voix paranormale obtenue par Monique Simonet en 1992

     

    Cette voix est extrêmement intéressante pour tous les sceptiques qui douteraient de l'honnêteté de Monique Simonet (pionnière en France de la TCI depuis 1979), car si c'était elle qui truquait ses voix elle saurait exactement ce qu'elle aurait mis dans ses enregistrements comme réponses à ses appels, or là, dans cet exemple, on voit bien que Monique, en toute bonne foi, pense réellement entendre la phrase suivante : « Je l'ai vu », mais la voix paranormale qui vient immédiatement après son appel dit bien « Georges », Georges étant justement le prénom du défunt dont Monique essayait d'avoir de ses nouvelles dans l'Au-delà, afin de pouvoir rassurer son épouse éplorée. On a donc la PREUVE ici que Monique ne trichait pas. Ayant eu la chance de bien la connaître et de lier une grande amitié avec elle, je puis vous assurer qu'elle était vraiment honnête et très sérieuse dans sa recherche, très altruiste aussi, toujours prête à aider les autres ( GRATUITEMENT ) lorsqu'ils faisaient appel à elle dans leur malheur, alors elle tentait d'obtenir pour eux des messages de leurs proches disparus afin d'alléger leur souffrance morale. En plus du témoignage audio de Monique, c'est Jean Carteron (un ami) et moi-même que l'on entend dans la vidéo.

    Voix paranormale n° 101

    Voix paranormale n° 27

      

    « Je vois sans peur la tombe aux ombres éternelles ;
    car je sais que le corps y trouve une prison,
    mais que l'âme y trouve des ailes. »

    Poème de Victor Hugo

    ( 1802 - 1885 )

     


  •        Article 13       

     

    Voix paranormale 13

     

    « Pour Mimi je craque ! »

     

     

    Voix paranormale obtenue par Monique Simonet

                         

    L'histoire de cette belle voix paranormale est assez extraordinaire : Monique se trouve chez elle en compagnie de son beau-frère (Marcel) et de sa belle-soeur. Monique tente d'entrer en contact avec son mari décédé. Tout d'un coup, durant la séance de TCI, des craquements bizarres se font entendre dans la cuisine où ils se trouvent, sans qu'aucun d'entre eux ne parvienne à localiser précisément d'où ils proviennent. Grand mystère ! Ils remettent alors l'enregistrement en route, puis en écoutant la cassette, ils ont la stupéfaction et la joie d'entendre cette voix qui s'exprime de manière forte et claire, disant : « Pour Mimi je craque ! » Tous trois reconnaissent nettement la voix de l'époux disparu de Monique !!! Mimi est le surnom affectueux donné à Marcel, le beau-frère de Monique Simonet, qui est aussi le frère du défunt. Monique pense que son mari a réussi à matérialiser ces craquements dans la cuisine pour faire plaisir à son frère Marcel ( Mimi ). C'est avec beaucoup d'émotion dans la voix que Monique nous apporte son précieux témoignage.

     

    Monique m'a souvent dit qu'on a beau avoir toutes les preuves de la survivance que l'on veut, acquérir cette certitude que l'on se retrouvera tous un jour de l'autre côté, il n'en demeure pas moins que l'absence physique de l'être aimé (du disparu) peut faire souffrir cruellement ici-bas, même si dans son cas elle se dit absolument convaincue de la présence spirituelle de son mari à ses côtés, ayant même eu une fois le bonheur de le voir apparaître durant quelques instants sous ses yeux !

    Voix paranormale n° 7

    Un scientifique affirme avoir obtenu 

    une voix paranormale en TCI :

     

     

    Rémy Chauvin

    ( 1913 - 2009 )

      

    Le professeur Rémy Chauvin était biologiste, naturaliste, entomologiste, professeur honoraire émérite à la Sorbonne, docteur ès sciences, ex-professeur d'éthologie et de sociologie animale dès 1959, et aussi membre du CNRS dès 1942 (Chargé de recherches, puis Maître de recherches en 1946), professeur à l'Office de la recherche scientifique Outre-Mer (Physiologie et Biologie de l'insecte, de 1944 à 1953), directeur de recherches à l'INRA au laboratoire de recherches apicoles de Bures-sur-Yvette, de 1948 à 1964 (à la maison de Jules Lair), professeur de psycho-physiologie générale à la faculté des sciences de Strasbourg, en 1964, et professeur de sociologie animale à l’université René Descartes (Paris V - la Sorbonne). Voici son témoignage très intéressant où il nous parle de son expérience probante en TCI. C'était en 1992 où il était est interviewé sur TF1 par le journaliste Alexandre Baloud.

      

      


  •         Article 14       

     

    Voix paranormale 14

     

    « On t'embrasse sur les mains »

     

     

    Voix paranormale obtenue par Monique Simonet en Août 1979

     

    Cette vidéo est un extrait de l'interview de Monique Simonet réalisée en 2004 par Alain Plaisant, le fondateur du site Fréquence Évasion, que je remercie et félicite vivement pour la qualité remarquable de son travail accompli. 

     

    Article 14

     

    Cette voix paranormale (« On t'embrasse sur les mains » a été obtenue par Monique dans le silence total d'enregistrement, sans aucun support sonore utilisé. Comme elle en parle peu dans l'interview, je vous mets ci-dessous un long passage de son ouvrage intitulé : "À l'écoute de l'invisible" (aux éditions Fernand Lanore) où là Monique nous raconte (pages 29 à 31) de façon très détaillée cette fois, l'histoire de cette voix, ce qui nous permet de comprendre le sens de ce message.

     

    Article 14

     

    Témoignage de Monique Simonet :

     

    Vers la fin du mois d'août.

     

    Il est près de minuit. Ma mère s'est endormie dans sa chambre, fatiguée par la chaleur qui a été accablante aujourd'hui. Je n'ai pas sommeil. Je tente donc un enregistrement. Tout est silencieux. Par ma fenêtre grande ouverte sur le jardin, je capte un peu de fraîcheur, tout en observant le ciel constellé d'étoiles. J'ai toujours aimé contempler les étoiles... Lorsque j'étais enfant, dans mon petit village, mon grand-père m'emmenait si souvent faire de longues promenades, à l'heure où elles apparaissaient... C'est grâce à lui que je reconnais facilement certaines constellations. C'est grâce à lui que j'ai eu très tôt quelque connaissance de la nature. Tout ce qu'il savait, il s'efforçait de me l'apprendre, de même qu'il m'avait appris à lire, écrire et compter avant que j'eusse atteint l'âge scolaire. Peut-être me guide-t-il encore maintenant à mon insu ; il me le semble parfois... Sans doute se trouve-t-il avec ma grand-mère, son épouse, que j'aime tant aussi, et qui m'a élevée comme la meilleure des mères... Et dans cet autre monde, il y a également tous mes aïeux, que je n'ai pas connus, mais dont on m'a parlé ; je pense à eux... Comme j'aimerais les percevoir... Je suis là, absolument immobile, attentive à toute sensation éventuelle, et je leur dis mentalement :

     

    Article 14

     

    « S'il vous plaît, touchez-moi ;
    peut-être m'en rendrai-je compte ...
    Touchez-moi. » 

     

    Je formule cette demande pendant une dizaine de secondes. Et non - ce n'est pas un rêve, je perçois soudain sur mes deux mains comme une caresse, accompagnée d'une sorte de picotement, léger, mais insistant... Cela dure quelques instants ; ma joie est grande, car je ne doute pas une seconde ma famille invisible est là, près de moi, et a répondu à ma demande. Je savoure un long moment le fait d'avoir obtenu ce contact privilégié... Pourtant, ce n'est pas tout pour ce soir ; en effet, peu après, je vérifie la cassette : au moment où j'avais cette sensation sur les mains, une voix féminine est enregistrée. Qui est-ce ? Ma grand-mère ? Je le crois ; je n'en suis pas sûre cependant ; ce peut être une aïeule, il m'est difficile de savoir exactement. Mais je reconnais facilement l'accent de mon pays natal, qui est aussi celui de mes ancêtres : les Ardennes. Quant au contenu du message, il est simple et bien explicite :

     

    Article 14

     

    Le lendemain matin, peu avant midi.

     

    Ma mère, après avoir écouté, identifie avec émotion la voix de sa grand-mère : « Elle parlait ainsi, m'explique-t-elle. Par exemple, la voix dit plutôt : « SU LES MAINS » que : « SUR LES MAINS », et cela est typique de notre région de la vallée de la Semoy. Et puis, en dépit des années qui se sont écoulées, je ne l'ai pas oubliée, et je retrouve bien là sa façon de parler. Elle était fort affectueuse. Sais-tu que, les derniers temps, elle ne pouvait marcher que courbée en deux vers le sol, et avec beaucoup de difficultés ?... A cette époque, les pauvres gens travaillaient parfois jusqu'à l'épuisement, et ce fut son cas. Je me souviens qu'à la fin de sa vie, elle ne pouvait plus se lever de son lit, mais elle m'appelait auprès d'elle et m'entretenait avec une infinie gentillesse. Je ne sais plus quel âge elle avait, je pense qu'elle n'était pas tellement vieille ; vois-tu, de ce temps là, on était déjà souvent considéré comme vieux aux environs de la cinquantaine, si ce n'est avant...

    --- Oui, heureusement, c'est différent maintenant. Toi, par exemple, tu te portes bien dans l'ensemble, et tu ne parais pas très âgée, tout le monde se trompe sur ton âge, car tu demeures très fraîche de teint...

     

    Article 14

     

    « Les faits ne vont pas cesser d'exister
    seulement parce qu'on les ignore. »

    Aldous Huxley

    ( 1894 - 1963 )

     


  •        Article 15       

    Article 15

     

    « Ô Dieu ! aaahh ... il faut servir le Christ ! »

     

     

    Voix paranormale obtenue par Monique Simonet 

     

    Ce qu'il y a de très intéressant dans cette voix, c'est que l'époux de Monique Simonet, Jacky, appelé ce soir-là en TCI, était agnostique de son vivant terrestre ; il doutait de l'existence de Dieu et de l'Au-delà, pensant que la Science trouverait un jour une explication rationnelle à l'origine de ces voix paranormales. Mais à présent qu'il est passé de l'autre côté (en 2001), il semble donc avoir changé d'avis sur la question. J'ai procédé à l'épuration de la voix paranormale en supprimant (dans la version épurée seulement) quelques bruits entre les mots pour ne garder à l'écoute que les syllabes de la phrase. En revanche, je n'ai pas touché à la version originale (figurant en première écoute dans la vidéo). A propos de Dieu, comme le dit si bien Monique : « On peut adorer Dieu dans toutes les religions possibles si on est sincère, et même en dehors des religions. »

     

     

     

    « C'est ici mon commandement :
    Aimez-vous les uns les autres,
    comme je vous ai aimés.
    Il n'y a pas de plus grand amour
    que de donner sa vie pour ses amis. »

    Jésus-Christ

    ( Saint-Jean : chapitre15 ; versets 12 et 13 )

     

    Voix paranormale 15

     

    « Que votre coeur ne se trouble point.
    Croyez en Dieu, et croyez en moi.
    Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père.
    Si cela n'était pas, je vous l'aurais dit.
    Je vais vous préparer une place.
    Et, lorsque je m'en serai allé,
    et que je vous aurai préparé une place,
    je reviendrai, et je vous prendrai avec moi,
    afin que là où je suis vous y soyez aussi. »

    Jésus-Christ

    ( Saint-Jean : chapitre 14 ; versets 1 à 3 )

     

    Accueil

     

    « Cherchez et vous trouverez »

    ( Saint Matthieu : 10 - 26 )

     

    « Car il n'est rien de caché qui ne doive être découvert,
    rien de secret qui ne doive être connu et mis au jour »

    ( Saint Luc : 8 - 17 )

     

    « Vous connaîtrez la vérité
    et la vérité vous affranchira »

    ( Saint Jean : 8 - 32 )

     

    « Dieu n'est pas un Dieu des morts, mais des vivants ;
    car pour Lui TOUS SONT VIVANTS »

    ( Saint Luc : 20 - 38 )

     

    Jésus-Christ

     


  •        Article 16       

     

     

    « Parce que les médicaments
    dans ton appartement
    ils sont pas bons »

     


     

     

    Voix paranormale obtenue par Monique Simonet en 1979

     

    C'est l'une des toutes premières voix paranormales obtenues par Monique Simonet ; elle est assez impressionnante par sa clarté auditive ! Dans la vidéo de TF1 (figurant dans ma page d'accueil), il est question de cet enregistrement, mais il y a une petite précision que j'aimerais apporter à propos de cette voix : dans la présentation verbale de cette présente vidéo, Monique Blanc-Garin nous dit que les médicaments que prenait Monique Simonet étaient périmés. L'origine de cette info provient de ce qui est dit dans le reportage vidéo de TF1, or voici ce que Monique Simonet m'a raconté à ce sujet :

     

    Durant son enregistrement de TCI, Monique ne se sent pas très bien et elle dit à sa mère « Je ne sais pas si j'aurai faim », et c'est là que la voix paranormale intervient en disant cette phrase : « Parce que les médicaments dans ton appartement ils sont pas bons ». En fait, Monique m'a bien expliqué que les médicaments qu'elle prenait à l'époque n'étaient pas du tout périmés mais qu'ils ne lui convenaient pas car ils produisaient sur elle des effets secondaires indésirables, ce qui explique le fait qu'elle ne se sentait pas bien. Lorsque l'esprit lui adresse ce message « Parce que les médicaments dans ton appartement ils sont pas bons », il a voulu sûrement l'avertir que les médicaments qu'elle prenait n'étaient pas bons pour elle, qu'ils ne lui convenaient pas, mais ils n'étaient pas du tout périmés, m'a bien précisé Monique.

     

    Le journaliste de TF1 venu chez elle avait donc préféré faire dire à la comédienne (celle qui remplace Monique Simonet dans le reportage lors de la reconstitution des faits) que les médicaments étaient "périmés", sans doute pour que "ça passe mieux à l'antenne". La bonne devise d'un journaliste devrait toujours être : informer sans déformer. Mais tout ça n'est finalement pas bien grave car le sens véhiculé par la voix paranormale reste le même : L'esprit la prévient que les médicaments qu'elle prend ne sont pas bons pour elle : ils sont la cause de son mal-être.

    Voix paranormale n° 7

     

    Didier van Cauwelaert 

    ( né en 1960 )

     

    Didier van Cauwelaert est un écrivain célèbre très talentueux qui a obtenu de nombreuses récompenses littéraires, dont le Prix Goncourt en 1994 et le Prix du Théâtre de l'Académie Française en 1983. On le voit régulièrement sur les chaînes de télévision où il y est invité, il participe aussi à de nombreuses émissions de radio. Dans ce fichier audio, il lit lui-même le chapitre 14 de son ouvrage intitulé : "Le père adopté" (aux éditions Albin Michel, 2007) dans lequel il nous apporte son témoignage au sujet de la TCI et de Monique SImonet, précisant bien que ce qu'il relate est véridique.

     


  •        Article 17       

     

    Voix paranormale 17

     

    « Si vous aviez vu tout ça,
    c'est la vie éternelle »

     

     

     

    Voix paranormale obtenue par Monique Simonet

     

    Ce merveilleux message nous promet l'éternité. La voix n'est pas parfaitement claire à l'écoute mais en y prêtant bien l'oreille (les deux de préférence), on parvient à saisir les mots, et c'est bien ça qui est dit. Imaginez ce que peuvent représenter 900 milliards d'années... Eh bien ce n'est rien du tout ou si peu comparé à l'éternité ! L'éternité, c'est 900 milliards d'années multipliées par un nombre infini.....Cela peut nous donner un petit aperçu de cette vie éternelle qui nous attend tous. Nous allons vivre SANS FIN (et avec tous nos proches). Excellente nouvelle, n'est-ce pas ! Dieu merci.  

    Voix paranormale 17

      

    « Nous avons dans le Ciel un édifice qui est l’ouvrage de Dieu,
    une demeure éternelle qui n’a pas été faite de main d’homme. »

    Saint Paul

    ( Second épître aux Corinthiens, chapitre 5, verset 1 )

     


  •        Article 18       

     

    Article 18

     

    « Esti meuch té bi aben ... esti »

     

     

    Voix paranormale obtenue par Monique Simonet en 1979

     

    Dans cette vidéo, j'ai épuré directement le son de la voix paranormale afin de favoriser à l'écoute un meilleur décryptage. Cette voix a été obtenue par Monique dans le silence total d'enregistrement, donc sans utiliser un support sonore.

     Voix paranormale n° 7

    Article 18

     

    François Mitterrand

    ( 1916 - 1996 )

      

    Dans le livre de Marie De Hennezel intitulé : « La mort intime » (aux éditions : Robert Laffont, 1995), le Président de la République, François Mitterrand, dans sa préface, écrit ceci :

     

    « Des civilisations, avant nous, regardaient la mort en face. Elles dessinaient pour la communauté et pour chacun le chemin du passage. Elles donnaient à l'achèvement de la destinée sa richesse et son sens. Jamais peut-être le rapport à la mort n'a été si pauvre qu'en ces temps de sécheresse spirituelle où les hommes, pressés d'exister, paraissent éluder le mystère. Ils ignorent qu'ils tarissent ainsi le goût de vivre d'une source essentielle. N'y a-t-il pas en l'homme une part d'éternité, quelque chose que la mort met au monde, fait naître ailleurs ? Il me semble qu'une société qui dérobe la mort au regard des vivants, qui la maquille, comme un mensonge, qui l'ôte du quotidien, loin de magnifier la vie, la corrompt. La naissance et la mort sont les deux ailes du temps. Comment l'homme irait-il au bout de sa recherche s'il ignorait cette dimension »


  •        Article 19       

     

     

    « Tout près de toi »

     

     

    Voix paranormale obtenue par Monique Simonet

     

    Voix paranormale 19      Voix paranormale 19      Voix paranormale 19

          Le Vatican et la TCI :     

     

     

    Article 19

     

    Le père François Brune

                        

    Prêtre catholique Français et théologien, devenu orthodoxe à la fin de sa vie terrestre, le père Brune a beaucoup contribué à faire connaître la TCI à travers le monde, il est l'auteur du livre célèbre : "Les morts nous parlent". Dans la vidéo ci-dessous, il témoigne du fait que le Vatican est parfaitement au courant de l'existence de ce phénomène, dont une équipe suit le développement de ces recherches :

     

     

    Parmi les premiers transcommunicateurs, dans les années 50, figurent deux prêtres catholiques, les pères Pellegrino Ernetti et Agostino Gemelli :

     

    Article 19

    Le père Agostino Gemelli

     

    Article 19

    Le père Pellegrino Ernetti

     

    Ils effectuaient une recherche musicale. Le père Ernetti était un scientifique internationalement respecté, physicien et philosophe, fervent amateur de musique de surcroît. Le père Gemelli, lui, était président de l'Académie pontificale des sciences.

     

    Le 15 septembre 1952, alors que les deux pères sont occupés à enregistrer un chant grégorien, un fil de leur magnétophone casse constamment… Exaspéré, Gemelli lève les yeux au ciel et demande l'aide de son père défunt. La réponse de celui-ci est enregistrée sur le magnétophone : « Bien sûr, je vais t'aider, je suis toujours avec toi. » Les deux ecclésiastiques répétèrent l'expérience avec le même succès. Gemelli, tout d'abord plein de joie devant l'apparente survie de son père, se sent assailli par une certaine crainte : « A-t-on le droit de parler avec les morts ? » Pour en avoir l'âme et le cœur nets, les deux hommes se rendent à Rome, chez le pape Pie XII, à qui, profondément troublé, le père Gemelli raconte son expérience.

     

    Article 19

     

    La réponse du pape Pie XII :

    ( 1876 - 1958 )

     

    « Cher père Gemelli, vous n'avez vraiment pas à vous tracasser à ce sujet. L'existence de cette voix est strictement un fait d'ordre scientifique et n'a rien à voir avec le spiritisme… L'enregistreur est absolument objectif : il reçoit et enregistre les ondes sonores d'où qu'elles viennent. Cette expérience pourrait constituer la pierre angulaire de l'édification d'études scientifiques appelées à fortifier la foi des gens dans un Au-delà. »

     

    Article 19

     

    Friedrich Jürgenson

    ( 1903 - 1987 )

     

    En juin 1959, Friedrich Jürgenson, peintre, archéologue, ancien chanteur d’opéra vivant en Suède, enregistre les oiseaux dans la campagne. En écoutant la bande, de retour chez lui, il entendit "un bruit, vibrant comme un orage, où l’on n’entendait que vaguement le gazouillis", suivi d’« un solo de trompette » et d’une voix d’homme qui parlait en norvégien. Ces bruits, inaudibles lors de l’enregistrement en direct, n’apparaissaient que lorsqu’il repassait la bande. Pour Jürgenson, pas de doute, ces voix étaient celles des morts, comme l’en persuada bientôt un nouvel évènement :

     

    « J'étais dehors, en train d'enregistrer les chants d'oiseaux.
    Quand j'ai réécouté la bande, une voix m'a dit :
    « Friedel, est-ce que tu m'entends ? C'est maman. »
    C'était la voix de ma mère décédée !
    Friedel, c'est le surnom qu'elle me donnait. »

     

    Article 19

     

    Rencontre entre Friedrich Jürgenson et le pape Paul VI

     

    Présentation :

    Le pape Paul VI

    ( 1897 - 1978 )

      

    Article 19

     

    « Quiconque ne croit pas en la parole de l'Écriture
    ne croira pas non plus quelqu'un qui reviendrait de l'Au-delà. »

    Le pape Benoît XVI

     ( Josef Ratzinger )

    _______________________________________________________________________________________________________

    * Cette phrase du pape est extraite de son ouvrage : 
    " Jésus de Nazareth ", page 241 ( aux éditions : Flammarion )

     


  •        Article 20       

     

    Voix paranormale 20

     

      « Le poivre est sur la tombe »

     

     

    Voix paranormale obtenue par Monique Simonet


        Les voix paranormales de Jeanne d'Arc :     

     

    JEAN BEAUPÈRE :

    « Entendez-vous souvent cette voix ? »
     

    JEANNE D'ARC :

    « II n'est jour que je ne l'entende, et même j'en ai bien besoin. »
    « Je voudrais que chacun l'entendît aussi bien comme moi. »
    « J'ai une plus grande peur de faillir, en disant quelque chose
    qui déplaise à ces voix que je n'en ai de vous répondre. »

     

    Article 20

    Jeanne d'Arc

    ( 1412 - 1431 )

     

     

        Extraits regroupés du procès de Jeanne d'Arc :   

     

    Jeudi 22 février 1431 :

     

    JEAN BEAUPÈRE : Quand avez-vous commencé à ouïr ce que vous nommez vos voix ?
    JEANNE : Quand j'eus l'âge de treize ans, j'eus une voix de Dieu pour m'aider à me gouverner. Et la première fois, j'eus grand'peur. Et vint cette voix environ l'heure de midi, au temps de l'été, dans le jardin de mon père. Je n'avais pas jeûné la veille. J'ouïs la voix du côté droit vers l'église, et rarement je l'ouïs sans clarté. En vérité il y a clarté du côté où la voix est ouïe, il y a là communément une grande clarté. Quand je vins en France, souvent j'entendais cette voix.
    JEAN BEAUPÈRE : Comment voyez-vous la clarté que vous dites quand cette clarté est sur le côté ?
    JEANNE : Si j'étais dans un bois, j'entendrais bien la voix venant à moi.
    JEAN BEAUPÈRE : Comment était cette voix ?
    JEANNE : II me semblait que c'était une digne voix, et je crois que cette voix était envoyée de par de Dieu. Lorsque j'eus ouï par trois fois cette voix, je connus que c'était la voix d'un ange. Cette voix m'a toujours bien gardée, et je comprenais bien cette voix.
    JEAN BEAUPÈRE : Quel enseignement vous donnait cette voix pour le salut de votre âme ?
    JEANNE : Elle m'enseigna à me bien conduire, à fréquenter l'église. Elle me dit qu'il était nécessaire que je vinsse en France.
    UN ASSESSEUR : Sous quelle forme cette voix vous est-elle apparue ?
    JEANNE : Vous n'aurez pas cela de moi, cette fois. Cette voix me disait, deux ou trois fois la semaine, qu'il fallait que je partisse et que je vinsse en France, et que mon père ne sût rien de mon départ. La voix me disait de venir en France, et je ne pouvais plus durer où j'étais. Cette voix me disait encore que je lèverais le siège mis devant la cité d'Orléans. Elle me dit en outre d'aller à Robert de Baudricourt, dans la ville de Vaucouleurs, et qu'il me baillerait des gens pour aller avec moi. Et alors je répondis que j'étais une pauvre fille qui ne savait monter à cheval ni mener la guerre. J'allai chez un mien oncle, et lui dis que je voulais demeurer quelque menu temps chez lui. Et j'y demeurai environ huit jours. Et je dis alors à mon oncle qu'il fallait que j'allasse en ladite ville de Vaucouleurs. Et mon oncle lui-même m'y mena. Quand je fus venue en ladite ville de Vaucouleurs, je reconnus Robert de Baudricourt encore que je ne l'eusse jamais vu auparavant. Je reconnus par cette voix ledit Robert, car la voix m'avait dit que c'était lui. Et je dis à Robert qu'il fallait que je vinsse en France. Robert par deux fois me repoussa et me refusa, et la tierce, il me reçut et me bailla des hommes. La voix m'avait dit ce qui arriverait.

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    JEAN BEAUPÈRE : Votre Roi eut-il des révélations ?
    JEANNE : Avant que mon Roi me mît à l'œuvre, il eut plusieurs apparitions et belles révélations.
    JEAN BEAUPÈRE : Quelles apparitions et révélations eut votre Roi ?
    JEANNE : Je ne vous le dirai point. Vous n'aurez pas encore réponse. Mais envoyez vers le Roi, et il vous le dira.
    JEAN BEAUPÈRE : Pourquoi votre Roi vous a-t-il reçue ?
    JEANNE : La voix m'avait promis que mon Roi me recevrait assez tôt après que je serais venue vers lui. Ceux de mon parti connurent bien que la voix m'était envoyée de par Dieu, et virent et connurent cette voix, je le sais bien. Mon Roi et plusieurs autres ouïrent et virent les voix qui venaient à moi. Il y avait présents Charles de Bourbon, et deux ou trois autres.
    JEAN BEAUPÈRE : Entendez-vous souvent cette voix ?
    JEANNE : II n'est jour que je ne l'entende, et même j'en ai bien besoin.

     

    Samedi 24 février 1431 :

     


    JEAN BEAUPÈRE : À quelle heure, hier, avez-vous ouï cette voix ?
    JEANNE : Je l'aie ouïe trois fois, ce jour-là : une fois au matin, une fois à vêpres, et la troisième fois comme on sonnait pour l'Ave Maria du soir. Et je l'ouïs plus souvent que je ne le dis.
    JEAN BEAUPÈRE : Hier au matin, que faisiez-vous, quand cette voix est venue à vous ?
    JEANNE : Je dormais, et la voix m'a réveillée.
    JEAN BEAUPÈRE : Vous a-t-elle éveillée en vous touchant les bras ?
    JEANNE : J'ai été éveillée par la voix, sans toucher.
    JEAN BEAUPÈRE : La voix était-elle dans votre chambre ?
    JEANNE : Non, que je sache, mais elle était dans le château.
    JEAN BEAUPÈRE : Avez-vous remercié cette voix et avez-vous fléchi les genoux ?
    JEANNE : Je l'ai remerciée, mais en m'asseyant en mon lit, et j'ai joint les mains. Et ce fut après l'avoir requise de prêter conseil. Sur quoi elle me dit de répondre hardiment.
    JEAN BEAUPÈRE : Que vous dit la voix quand vous fûtes éveillée ?
    JEANNE : Je lui demandai conseil sur ce que je devais répondre, lui disant de demander conseil sur cela à Notre-Seigneur. Et la voix me dit que je réponde hardiment et que Dieu me conforterait.
    JEAN BEAUPÈRE : La voix vous a-t-elle dit quelques paroles avant d'être requise par vous ?
    JEANNE : La voix me dit quelques paroles, mais je ne les compris toutes. Toutefois, quand je fus éveillée du sommeil, la voix me dit de répondre hardiment. (À l'évêque) Vous dites que vous êtes mon juge. Avisez-vous de ce que vous faites, car, en vérité, je suis envoyée de par Dieu, et vous vous mettez en grand danger.
    JEAN BEAUPÈRE : Cette voix a-t-elle quelquefois varié ses conseils ?
    JEANNE : Oncques ne l'ai trouvée en deux langages contraires. Cette nuit, je l'ai entendue me dire de répondre hardiment.

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    JEAN BEAUPÈRE : La voix vient-elle de Dieu ?
    JEANNE : Je crois fermement, aussi fermement que je crois en la foi chrétienne et que Dieu nous racheta des peines d'enfer, que cette voix vient de Dieu et par son ordre.
    JEAN BEAUPÈRE : Cette voix, que vous dites vous apparaître, est-elle un ange, ou vient-elle de Dieu immédiatement ? ou est-ce la voix d'un saint ou d'une sainte ?
    JEANNE : Cette voix vient de par Dieu. Et je crois que je ne vous dit pas pleinement ce que je sais. J'ai une plus grande peur de faillir, en disant quelque chose qui déplaise à ces voix que je n'en ai de vous répondre.

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    JEAN BEAUPÈRE : Savez-vous si vous êtes en la grâce de Dieu ?
    JEANNE : Si je n'y suis, Dieu m'y mette ; et si j'y suis, Dieu m'y tienne. Je serais la plus dolente du monde si je savais n'être pas en la grâce de Dieu. Et, si j'étais en péché, je crois que la voix ne viendrait pas à moi. Et je voudrais que chacun l'entendît aussi bien comme moi.
    JEAN BEAUPÈRE : Quel âge aviez-vous quand vous l'entendîtes pour la première fois ?
    JEANNE : Je tiens que j'étais en l'âge de treize ans quand la voix me vint la première fois.

     

    Mardi 27 février 1431 :

     

    JEAN BEAUPÈRE : Quelle fut la première voix qui vint à vous, quand vous étiez en l'âge de treize ans ou environ ?
    JEANNE : Ce fut saint Michel que je vis devant mes yeux, et il n'était pas seul, mais était bien accompagné d'anges du Ciel. Je ne vins en France que du commandement de Dieu.
    JEAN BEAUPÈRE : Avez-vous vu saint Michel et les anges corporellement et réellement ?
    JEANNE : Je les vis de mes yeux corporels, aussi bien que je vous vois. Et quand ils se partaient de moi, je pleurais ; et j'eusse bien voulu qu'ils m'emportassent avec eux.

      

    Voix paranormale 20

     

    Le 30 mai 1431 : mort de Jeanne d'Arc :

     

    Les témoins présents entendirent Jeanne crier sur le bûcher : « Saint Michel ! Saint Michel ! » Le feu fut allumé. Inquiète pour les deux frères prêcheurs, elle leur dit de s'écarter : « Descendez, et levez haut la croix du Seigneur, que je puisse la voir. De l'eau bénite ! Jésus ! » Dans les flammes, on l'entendit répéter au moins six fois le nom de Jésus : « Jésus ! Jésus ! Jésus ! Jésus ! Jésus ! Jésus ! » Avant de rendre l'âme, Martin Ladvenu l'entendit dire encore : « Les voix que j'aie eues étaient de Dieu. Tout ce que j'ai fait, je l'ai fait par le commandement de Dieu ! Non, mes voix ne m'ont pas déçues. Les révélations que j'ai eues étaient de Dieu. » Enfin, au moment de mourir, Jeanne cria d'une voix très forte : « Jésus ! »  

     

    Maison natale de Jeanne d'Arc à Domrémy-la-Pucelle

     

     

       CHRONOLOGIE DE LA VIE DE JEANNE D'ARC  :    

     

     

    1412 : Jeanne, fille de laboureur, naît à Domremy, sur la Meuse, un village français du Barrois mouvant.
    1420, 20-21 mai : Le honteux traité de Troyes dénie la légitimité du dauphin Charles et prétend le priver de ses droits monarchiques au profit de Henri V d'Angleterre.
    1425 (environ) : Jeanne entend pour la première fois des voix mystérieuses.
    1429, Janvier : Jeanne se rend à Vaucouleurs, auprès de Robert de Baudricourt, capitaine de cette place pour le Roi.
    22 février : Jeanne quitte Vaucouleurs, ayant conquis à sa cause Baudricourt.
    6 mars : Elle rencontre Charles VII à Chinon.
    22 mars : Lettre (ultimatum au nom du Ciel) de Jeanne aux Anglais.
    29 avril : Jeanne entre dans Orléans assiégé.
    4-7 mai : Prise des bastilles anglaises encerclant Orléans.
    8 mai : Les Anglais lèvent le siège.
    18 juin : Victoire de Patay.
    17 juillet : Charles VII est sacré à Reims.
    Décembre : Échec de Jeanne d'Arc à La Charité sur Loire. Lettres patentes de Charles VII anoblissant le père de Jeanne et toute sa descendance.
    1430, 23 mai : Tentant de secourir Compiègne, Jeanne tombe aux mains de Jean de Luxembourg, du parti bourguignon.
    Entre la mi-juillet et le 24 octobre (on ne peut préciser davantage) : Jeanne risque la mort en tentant de s'échapper du château de Beaurevoir.
    6 décembre : Jean de Luxembourg vend Jeanne d'Arc aux Anglais moyennant 10 000 écus d'or.
    23 décembre : Jeanne à Rouen, où réside Pierre Cauchon, évêque-comte de Beauvais (Jeanne a été arrêtée dans son diocèse), dépossédé de son siège.
    1431, 9 janvier-23 mai : Présidé par l'évêque de Beauvais, a lieu à Rouen - pour hérésie et sorcellerie - le procès de Jeanne devant un tribunal d'Église.
    24 mai : Jeanne, ayant fait " soumission ", est condamnée à la prison perpétuelle.
    28 mai : Ayant constaté que Jeanne avait repris ses habits d'homme, les docteurs la considèrent aussitôt comme " relapse ".
    29 mai : Jeanne d'Arc est condamnée à mourir brûlée vive, comme hérétique et relapse.
    30 mai : Elle meurt sur le bûcher, place du Vieux-Marché à Rouen.
    1450, 15 février : Charles VII ordonne une information nouvelle sur le procès et la condamnation de Rouen.
    1452 : Début d'une enquête ecclésiastique parallèle.
    1455 : 11 juin : Rescrit du pape Calixte III (rendu à la requête d'Isabelle d'Arc, mère de Jeanne, et des frères de Jeanne, Jean et Pierre d'Arc du Lys) pour procéder à la révision du jugement de 1431.
    7 novembre : Début du procès (contumace, car Pierre Cauchon est mort en 1442) sur le fait d'annulation de la condamnation de Jeanne.
    1456, 7 juillet : Sentence de nullité du procès et de la condamnation de 1431.
    1909, 18 avril : Jeanne est béatifiée.
    1920, 16 mai : Canonisation de Jeanne.

     

    SUITE page 3